OUSIA 



  Chaque citoyen peut agir et remettre en cause notre mode de vie énergivore !  


Le climat change... et nous, on fait quoi ?

     
  <    Chauffe qui peut !...    >

 
     



Le 5 octobre 2006 :
l'OMS met le monde au défi d'améliorer la qualité de l'air



Le 4 novembre est la date retenue par les Organisations Non Gouvernementales pour que les citoyens se mobilisent sur toute la planète. En 2006, cette date précède de deux jours la Conférence internationale sur le climat des Nations Unies (Nairobi, Kenya, 6-17 novembre 2006).

Il est aujourd'hui important de manifester nos préoccupations concernant le réchauffement de la planète et de faire entendre l'urgence d'adopter des mesures fortes.


Notre courrier a pour buts premiers de faire passer trois messages qui seront les principaux mots d'ordre de cette Conférence internationale des Nations Unies sur le Climat :
  • il est urgent que les décideurs se mettent vite d'accord sur la teneur de leurs engagements après 2012 (début de la deuxième période d'application du Protocole de Kyoto. Tout retard dans la prise de décision rendra pratiquement impossible l'atteinte de l'objectif de la Convention, à savoir, la stabilisation du climat.

  • les pays industrialisés doivent s'engager sur des objectifs beaucoup plus ambitieux de réduction de leurs émissions de gaz à effet de serre

  • ils doivent aider les pays en développement à s'adapter aux effets du changement climatique qui sont déjà visibles.


Chacun peut, en tant que citoyen, agir et remettre en cause notre mode de vie énergivore !


RAPPELS :

Nationalement, Ousia demande toujours :

  • l'augmentation de la taxation et l'augmentation des assurances en fonction de la cote environnementale du véhicule

  • une autre politique des Transports que le "tout autoroute", fondée entre autres sur le report des investissements publics vers les transports en commun, le ferroviaire et le fluvial, et l'incitation à la mobilité douce : relocalisation des productions, covoiturage, vélo en ville, etc.


Localement, nous invitions toujours la municipalité de Bar-le-Duc à réfléchir :

  • à un prix des places de stationnement proportionnel à la taille des voitures

  • à une politique attractive des transports (prix incitatif, développement des dessertes, etc.)

  • à la sécurisation des liaisons douces et à leur extension

  • à l’interdiction du centre-ville aux véhicules motorisés (exception faite des urgences, services publics et livraisons)


Par ailleurs, nous déplorons le manque d'encouragements fiscaux donnés aux "sans-voitures".



CLIMAT
CHAUFFE QUI PEUT